Les spores du Namtar flottaient chaque jour dans l’atmosphère moite de la forêt, suspendues entre les couches de journée et de brouillard. Invisibles à l’œil nu, elles dessinaient de certaines schémas complexes dans l’air, bouleversant l’état perceptif de celles qui les respiraient. Dans un seuil tranché, autour de certaines clairières, https://holdenewsnq.mpeblog.com/59711391/la-racine-des-visions